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Vous devez vous inscrire en complétant une demande de logement locatif social. Pour cela, il suffit de :

Moncé-en-Belin se distingue par son dynamisme et son engagement envers la communauté. Récemment, la commune a lancé des projets innovants en matière d’écologie et de développement durable, tout en organisant des événements festifs et culturels qui rassemblent les habitants.

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Moncé-en-Belin se distingue par son dynamisme et son engagement envers la communauté. Récemment, la commune a lancé des projets innovants en matière d’écologie et de développement durable, tout en organisant des événements festifs et culturels qui rassemblent les habitants.

Deux circuits de randonnées sur Moncé en Belin

Comment obtenir un logement locatif social ?

Vous devez vous inscrire en complétant une demande de logement locatif social. Pour cela, il suffit de :

Il est impératif de joindre tous les documents demandés.

Les demandes effectuées en ligne ont même valeur que les demandes « papier ».

Afin de simplifier les démarches, les bailleurs sociaux proposent de saisir en ligne un formulaire unique de demande de logement locatif social.

Votre dossier est valable dans le département concerné par votre recherche.

Pour saisir ou gérer votre demande en ligne, rendez-vous sur le site :

À l’enregistrement de votre demande, vous recevrez un numéro unique qui vous sera demandé lors de toute correspondance. Il est obligatoire pour recevoir des propositions de logement.

Toute demande sera enregistrée dans un fichier commun à tous les bailleurs sociaux.

Votre demande est valable 1 an et doit être renouvelée 1 mois avant sa date d’expiration.

Circuit de 10kms, balisé en jaune.
Au départ du parking du Val’Rhonne, le circuit contourne le village en passant par le bourg, la cité des Charmes, le monument des Alliés, la Motte de Vaux et la route des Renaudes.

70% de chemins de terre.

Le circuit de Moncé

Circuit de 12kms, balisé en rouge.
Au départ du dépôt pétrolier de Saint Gervais en Belin, le parcours vous emmène vers le ruisseau le Lunerotte, la butte Monnoyer, le chemin des Fillières, Château-Gaillard et le gué du Moyen-Age.

90% de chemins de terre.

Le circuit de Moncé

Cimetière

Le Gué du Moyen Age

Le « gué médiéval » se situe sur le chemin communal d’ancienne dénomination «chemin de Laigné par la croix saupiquet à Buffe et Fillé et Guécélard ».

Ce gué permet de franchir le ruisseau le Lunerotte qui représente de nos jours la limite entre les communes de Moncé-en- Belin et Saint Gervais-en-Belin.

Le Lunerotte fait partie du bassin du Rhonne.

Le comte de Belin qui habitait au château du Plessis sur la commune de Saint Gervais empruntait le gué pour accéder à ses terres ou rejoindre le chemin mansais qui reliait le Mans à Angers.

Ce gué montre visiblement deux rainures écartées de 1,53 m, correspondant à l’écartement des roues des chariots médiévaux. Il a été découvert lors de l’ouverture du chemin de randonnée.

Ce site assez rare dans le Haut Maine présente un intérêt indéniable pour la conservation du petit patrimoine.

La première demande de restauration a été faite par l’association du patrimoine de Moncé-en-Belin en 2002 suite à la visite de l’architecte des Bâtiments de France (ci-joint la lettre de l’architecte).

courrier_du_02_dec_2002
Cliquer pour en savoir plus.

Depuis, outre la pose de barrières de protection sur le site par l’association du patrimoine, aucun travail n’a été réalisé et le gué se dégrade de plus en plus chaque jour, la loi sur l’eau n’ayant pas facilité la chose.

Trois associations du patrimoine : Laigné, Saint gervais et Moncé en Belin ont adressé un courrier en 2015 à l’actuel président du bassin du Rhonne pour que ce gué soit enfin restauré.

Voici des extraits de textes anciens retrouvés :

« Le gué sert pour l’accès aux terres, livraisons … château Gaillard, Bigottières, Buffe, Guécélard, Fillé ainsi que de jonction entre la voie de Poitiers (actuelle route du Lude) avec le chemin au Bœufs. »

« Origine du nom Lunerotte : Sans rote (route), le « Nullerote »finissait son tracé dans un marécage dans le secteur de la butte du vieux Mans et la butte de Monnoyer, l’eau du ruisseau coulait normalement de décembre à août, sinon une mauvaise récolte était annoncée !!. »

« Le 11 mars 1690, un différend condamne le sieur Guitton de la Beaussonnière, à rétablir le chemin par lequel on va, de Moncé, à Gandelin et aux Bigottières. »

« Rottier de Madrelle, qui achète le comté de Vaux et Belin le 11 janvier 1756, refait le tracé hydraulique du secteur pour assainir les terres et y planter des Pins des Landes, une essence que nous retrouvons encore de nos jours. »

Recherches faites par l’association du patrimoine de Moncé-en-Belin J.C.Le Bras, Rougeon G

1888
L’axe du Chœur est différent de celui de la Nef et représente ainsi la tête penchée du Christ sur la croix. Le Chœur est pavé en imitation mosaïque en 1888.
1888
Les statues de Ste Scholastique, Jeanne d’arc offerte par une bienfaitrice, Ste Thérèse de l’enfant Jésus.
1889-1890
Les statues du sacré Cœur et Notre Dame du sacré Cœur ont été offertes par la famille Palmé en 1889 - 1890.
1889-1890
1897
St Antoine de Padoue fut offert par la famille Surmont en 1897.
1897
1960
Dans les frises de têtes du XIIIe avec polychromie du XIXe siècle, des rois et des reines y ont été sculptés, l’une d’entre elles représente sûrement Geoffroy de Plantagenêt, les autres sûrement Aliénor d'Aquitaine et Henri II.
1960
1862
Les peintures murales et la voûte du Chœur ont été réalisées en 1862 par Pierre Honoré Chadaigne, né à Brulon le 13 avril 1824, elles se sont dégradées par les infiltrations d’eau depuis plusieurs années (Ouest France. du 29/12/1988), celle de Ste Marie-Egyptienne est irrécupérable.
1862
1868
Les vitraux sans iconographie sont sortis en 1868 des ateliers Fialex de Mayet.
1868
1819
Plusieurs personnes connues ont été inhumées sous le clocher, dans l’ancienne chapelle dédiée à Ste Marguerite puis à St René, nous y trouvons actuellement, les fonts baptismaux offerts par la famille Martigné en 1819, le confessionnal en bois sculpté et l’harmonium.
1819
1804
René Anselme Négrier de la Crochardière, propriétaire du Bignon, avait achetée l’église en 1796, et en a fait don à la commune le 22 août 1804 (4 fructidor de l’an XII).
1804
1864-1879
Deux cloches fondues par Bollée en 1864-1879 nommées Mathilde-Henriette et Marie-Renée.
1864-1879
1872
Le 1er décembre 1872 le conseil décide de faire remplacer les tuiles la nef par des ardoises.
1872
1889
La nef est lambrissée en sapin du nord par Reboursier et peinte par Louis Renouard en 1889.
1889
1888
La table de communion et la chaire en pierre de Poitiers sculptée en 1888 par Gaullier du Mans ont été retirées récemment lors de l’aménagement du Chœur.
1888
Entre 1830 et 1860
A l’ouest Sous le porche roman, une stèle gravée d’une croix provient de l’ancien cimetière qui entourait l’église et qui a été transféré à son lieu actuel à la croix Buissée entre 1830 et 1860. Les deux grandes fenêtres sont du XVIIe siècle.
Entre 1830 et 1860
1988
Les vitraux ont été restaurés en 1988 ainsi que la couverture, le crépi extérieur refait en 1990.
1988
1999 et 2014
Les extérieurs ont été restaurés en 1999. Une mise en sécurité de l'édifice a été réalisée en décembre 2014.
1999 et 2014
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